For Free Hands

Presse

Le 07.03.25, Andreas Brunn était l’invité du studio de Deutschlandfunk Kultur / Funkhaus Berlin.
Katrin Wilke l’a interviewé sur le nouveau CD de BalkaNova « July Morning » et ensuite sur le dernier CD de FOR FREE HANDS « The passing on of the fire » et elle a présenté son arrangement de « Armando’s Rhumba » de Chick Corea dans sa magnifique & intense émission DLF Musikmagazin TONART JAZZ le 18.03.25. Un grand merci à Katrin Wilke !

Christian Erber - NDR: FOR FREE HANDS

Pour leur nouveau CD « The passing on of the fire », le quatuor du guitariste et compositeur Andreas Brunn a invité en studio Alaa Zouiten, avec lequel le groupe entretient des liens d’amitié depuis des années. Ce pont culturel entre l’Orient et l’Occident a donné naissance à un album extraordinairement intense et coloré ».

« Des morceaux rythmiquement élaborés réjouissent l’oreille des auditeurs les plus exigeants, de belles mélodies caractérisent les compositions. Varié, coloré, groovy, décontracté – les cinq musiciens de cinq pays offrent ici un jazz urbain accrocheur avec une bonne dose d’ingrédients orientaux ».

De plus, notre CD FFH « The passing on of the fire » était en octobre le CD de la semaine chez jazz-fun.de : « Sur une œuvre truffée de matériel frais, Andreas Brunn se sert d’un large arsenal instrumental. Il en résulte un superbe album à la frontière du jazz et de la fusion, avec des envolées jazz-rock. J’aime les solos agiles du guitariste en interaction avec le saxophone, soutenu par le oud d’Alaa Zouiten. Un grand album, nous sommes ravis » !

Critique en direct

Dans Südthüringen.de, à propos de notre concert au Jazzclub Ilmenau juin 2023 : « Une partie de la communauté du jazz berlinois enthousiasme le public à Ilmenau : « For Free Hands » avec le musicien marocain Alaa Zouiten donnent vendredi le premier des trois concerts d’été du Jazzclub. … Il n’y a pas que les sons traditionnels du oud que l’on peut entendre de la part de Zouiten, son instrument et lui s’intègrent également avec sincérité dans les morceaux plus modernes du groupe « For Free Hands » et l’expression de son visage crie littéralement : « J’aime ce que je fais ici ». On pourra également entendre vendredi des compositions du Berlinois d’adoption marocain, comme par exemple « Thanx Kenny », que le groupe avait déjà joué ensemble en live au Maroc dans le passé. …

Après de longs applaudissements, un rappel est effectué, et Brunn constate visiblement avec plaisir que le jazz du groupe, qui n’est pas conçu comme une musique de danse, est dansé avec entrain et persévérance par plusieurs des invités. Pour Michael Möller, membre du comité directeur du club de jazz, le résultat de la soirée est positif : « Le plus important pour nous, c’est la musique et le sentiment de bien-être que nous éprouvons lorsque nous pouvons organiser une telle manifestation avec des musiciens et musiciennes formidables et respectés sur la scène du jazz ».

Anis Hajjam (Telquel - Casablanca)

« Ce luthiste Alaa Zouiten est l’un des plus doués de sa génération. Adepte d’une intégration musicale réfléchie de nombreuses influences, il s’investit avec une sincérité qu’on aimerait voir plus souvent ».

Modernícolas: FOR FREE HANDS @ MALAGA JAZZFESTIVAL

ein Neuer Weg zum Verstehen des Jazz… Synergy ist das Wort, um dieses Berliner Quartett zu definieren. For Free Hand stehen für zeitgenössischen Jazz. Dissonante Klänge entwickelten sich zu schönen Melodien, welche über einem variantenreichen Rhythmusteppich schweben.

Dieses eindrucksvolle Quartett schlug mit seiner Musik, welche verschiedenste Kulturen vereinigte, alle Anwesenden in ihren Bann. …“ – Javier Martínez

Aziz Sehmaoui (Paris)

« Alaa Zouiten est un travailleur acharné, un grand musicien. Un connaisseur comme on en rencontre rarement. Son amour, c’est de parler et de crier avec l’oud. Il joue avec une grande passion ».

« … Andreas Brunn est un guitariste et un compositeur engagé, un bâtisseur de ponts et un réconciliateur actif, particulièrement attaché à l’Est, et notamment à la Bulgarie. … « Perpetuum five » se présente comme un postbop électrifié, plus accrocheur, plus carré, plus anguleux, plus méchant, plus furieux, plus jazz. C’est là que Karparov et Brunn sont particulièrement vivants et marquants. …

Et il y a l’inconfortable « Magic Friday », ou encore « East Side Gallery Story », l’histoire d’un quatuor qui pourrait parfaitement s’adapter au monde, mais qui au lieu de cela transforme sans se plaindre le poids de l’histoire (contemporaine) et de la responsabilité en une musique qui doit être inconfortable. Et c’est là qu’elle est la meilleure. Et à la contrebasse, Georg Donchev joue encore exactement le doux mélange d’une jubilation sans limites et de tout ce qui se cache encore sous la jubilation. … » Alexander Schmitz

« Celui qui sait compter est clairement avantagé, et les fractions ne font pas de mal non plus. 5/8, 7/8 & 13/16, tel est le tissu rythmique que le quatuor berlinois multiculturel For Free Hands tisse sur son nouveau CD « Kaleidoscope Freedom », et il regorge de tournures et de torsions surprenantes, de pièges et d’écueils numériques épineux.

Les références biographiques y jouent un rôle central, tout comme l’ouverture aux nombreuses facettes de l’Autre qu’ils rencontrent dans l’ancienne ville-mur. Mais la biographie et l’identité ne sont pas tout, ce qui est décisif, c’est plutôt l’assurance évidente avec laquelle le quartet aborde les différentes facettes du jazz électrifié et les charge d’énergie – et ce qui est également décisif, c’est le plaisir débordant de jouer ». Stephan Hentz

« … Spécialisé dans les rythmes infernaux – Exubérant, débordant et entraînant – c’est ainsi que le quatuor « For free Hands » s’est présenté. Les concepts polymétriques ont créé une tension inhabituelle dans la musique. Lorsque, sur « Magic Friday », des cadences de guitare et de saxophone se mêlaient sur une mesure 13/16, les musiciens étaient dans leur élément. Le public a été tout simplement bluffé par « For free Hands ». … »

« Andreas Brunn évoque toujours des souvenirs de John McLaughlin. Son jeu et son talent de compositeur sont subtils et pleins d’esprit ; une fugue de jazz comme « Wizards’ Cube » ne s’écrit pas toute seule ».

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Région Rundschau Stuhr / Weihe

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