A. Brunn - V. Karparov - S. Rainer

Presse

Notre nouveau CD a été présenté à la radio RBB Kultur ! Magnifique Late Night Jazz Show d’Ulf Drechsel ! Vous pouvez l’écouter ici !

“Swindia” (comp. Hans Hartmann)

“Sky” (comp. Simon Rainer)

“Kontraste” (comp. Andreas Brunn)

NDR

Christian Erber : « DUOMEETING – un son tel qu’il ne peut naître que dans le melting-pot culturel d’une métropole de plusieurs millions d’habitants comme Berlin. Créé par trois virtuoses sur leurs instruments, qui sont totalement étrangers aux frontières culturelles et à la pensée musicale cloisonnée.

Avec New Urban World Melodic Grooves, Brunn, Karparov et Rainer emmènent leur public dans un voyage de découverte musicale d’un genre particulier. Leurs compositions, dans lesquelles les rythmes des Balkans se mêlent aux sonorités funk, latines et world, témoignent d’une virtuosité et d’un plaisir de jouer exceptionnels. Ils ne sonnent jamais de manière encombrante ou cérébrale, mais toujours de manière fraîche, vivante et pétillante. Comme on pourrait s’y attendre dans un melting-pot en pleine effervescence ».

Notre nouveau CD a été présenté à la radio RBB Kultur ! Magnifique Late Night Jazz Show d’Ulf Drechsel ! Vous pouvez l’écouter ici !

JAZZPODIUM 3-4 /2021

Neugrooves x 3 – Concentré de dialogues intimes:
Un trio de deux guitares et un saxophone autour d’Andreas Brunn fait actuellement plus qu’attirer l’attention.

UNE MINI-SÉLECTION dans la boîte d’attributs de Jazz Podium pour le guitariste/percussionniste Andreas Brunn ? La musique comme « élixir de vie » et « musique avec une conscience sociale » se laissent découvrir dans le travail du « promoteur et initiateur de rencontres multi-ethniques de Weimar ». Le « militant musical » berlinois d’adoption est un « bâtisseur de ponts et un réconciliateur, particulièrement attaché à l’Est » et « un passeur de frontières sans relâche entre le jazz, le folk des Balkans, le rock et la pop, le plus souvent à la sevenstring, mais aussi électrique ». Il prend au pied de la lettre la « langue mondiale qu’est la musique », « croise les métriques des Balkans avec le jazz, apporte aux enfants des connaissances sur la musique ». Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) [zurzeit online] Le rythme comme lien social et explore inlassablement avec ses groupes internationaux de nouveaux territoires entre le jazz et la  world music ». Son trio actuel présente, toujours chez Laika Records, des « New Urban World Melodic Grooves ».

22 ans plus tôt, un tel était présent lorsque les jumeaux d’esprit, le bassiste suisse Hans Hartmann au Chapman Stick à 12 cordes et le guitariste acoustique au synthétiseur Roland, ont envoyé des démos de leurs débuts. « Peter Cronemeyer de Laika a été l’un des premiers à répondre. Le Chapman Stick était encore une nouveauté à l’époque. Peter a tout simplement saisi l’occasion, et j’ai eu un bon sentiment, et nous avons alors réalisé le disque. Ça s’est très bien passé, et Peter s’est beaucoup investi dans les relations publiques. Il continue à le faire aujourd’hui. …

Et voici donc le nouveau trio, un combo berlinois all-star, dans lequel Vlado Karparov fait plutôt partie du personnel permanent, tandis que Simon Rainer fait ici ses débuts en tant que guitariste électrique. Brunn et lui se connaissent depuis des années. « C’est un guitariste électrique tout à fait exquis, avec de superbes sons, qui me rappelle un peu Pat Metheny. Et puis, au détour d’une conversation, il s’est avéré qu’il avait été élève de Muthspiel. Il y a là une certaine ligne de conduite », estime Brunn, qui fait remarquer que la musique du nouveau trio s’est en fait développée à partir des deux duos Karparov & Brunn et 13 Strings (S.Rainer/A.Brunn). Et avec ce nouveau CD, les musiciens veulent aussi rendre hommage à leur ami Hans Hartmann, qui est tombé gravement malade. Les compositions de ce dernier sont, dit-il, « des morceaux compliqués mais mélodiquement beaux et c’est ainsi que « Swindia » et « Tango el Cercado », tous deux en 5/4, ont été choisis. Mentionnons « Magic Friday » en 13/16 à jouer sans percussion, ce qui est « aussi assez exigeant, mais un grand plaisir en duo avec Karparov ». Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Il définit le style du CD comme « crossover entre les deux, jazz et musique du monde ». Na Mama’ de Vladimir sonne aussi très balkanique, et d’un autre côté notre duo dans ‘Goodbye Pork Pie Hat’, c’est à nouveau du vrai jazz », presque comme la belle composition de Simon « Sky », qui a été créée après un atelier avec Wolfgang Muthspiel.

Quelques jours avant notre conversation Skype, il a finalement déclaré qu’il avait téléphoné à Vladimir en Bulgarie. Et ce dernier, avant de raccrocher, lui aurait encore donné une phrase de consolation en corona : « La bonne musique », lui aurait-il dit, « surmontera tout cela ». – Alexandre Schmitz

Critiques sur le nouveau CD

Andreas Brunn / Vladimir Karparov / Simon Rainer
New Urban World Melodic Grooves

« Sur cet album, Andreas Brunn est à la guitare acoustique et son collègue Simon Rainer à la guitare électrique. Le troisième est le saxophoniste bulgare Vladimir Karparov. Ce qui rend la formation si exceptionnelle, ce sont les fonctions de basse, assumées tantôt par Brunn, tantôt par Rainer, qui rendent le son de l’ensemble tellement plus riche qu’il ne l’est en réalité pour trois musiciens. Si l’on ajoute à cela les influences est-européennes de Karparov, on obtient un mélange qui ne peut probablement être créé qu’en Europe centrale. Dans « Swindia » de Hans Hartmann, des éléments musicaux de Suisse sont mélangés à des gammes d’Inde, et les huit autres titres, dont la célèbre ballade de Charles Mingus « Goodbye Pork Pie Hat », sont également assez cosmopolites. Non, les trois musiciens traversent les cultures de manière décontractée et naturelle. Brunn a d’abord joué en duo avec ces deux musiciens avant d’avoir l’idée de former un trio. La magnifique ballade « Sky » est l’un des points forts de New Urban World Melodic Grooves, le compositeur Rainer s’est inspiré pour cela du légendaire album Beyond the Missouri Skyde Pat Metheny et Charlie Haden ». –Rolf Thomas

JAZZHALO (Belgique)

https://www.jazzhalo.be/reviews/cdlpk7-reviews/a/andreas-brunn-vladimir-karparov-simon-rainer-new-urban-world-melodic-grooves

« Non, nous ne rencontrons pas ici un trio de jazz classique, mais deux guitaristes et un saxophoniste. … Andreas Brunn lui-même a un faible pour les rythmes balkaniques et les mesures impaires, mais en même temps, il mise aussi sur les rotations comme principe de ses ensembles. Ainsi, il ne joue pas seulement des hachures mélodiques sur sa guitare à sept cordes, mais aussi des lignes de basse et, par-dessus le marché, de la percussion, tout en tapotant le corps de son instrument de la main droite.

Le saxophoniste Karparov apporte ici et là des sifflements, mais pas seulement. Et Simon Rainer décrit son rôle comme suit : « À l’aide de dispositifs d’effets comme le Fractal Audio, la pédale wah-wah ou l’octaver, je peux changer de timbre à ma guise. De cette manière, je peux par exemple faire résonner des sons de basse ou d’orgue Hammond et soutenir ainsi le groove des compositions de manière totalement différente que si je jouais uniquement de la guitare » ?

Le solo de guitare au début de « Swindia » est bref. Ensuite, on a l’impression que Karparov imite avec son saxophone le battement d’ailes d’une volée de pigeons. En l’écoutant, on a également l’impression que Hans Hartmann a écrit une nouvelle chanson populaire avec une ligne mélodique accrocheuse, destinée à être fredonnée. Karparov la reprend dans son jeu. Et Simon orne encore un peu plus la chanson avec son jeu de guitare virtuose, tandis qu’Andreas Brunn s’occupe du corset rythmique. Et qu’est-ce que c’est dans la « pièce voisine sonore » ? Des sifflements et des bruits d’orage ? On entend des claquements de doigts, tandis que des lignes mélodiques enchevêtrées se répandent dans la pièce, grâce à Andreas Brunn. Dans l’ensemble, l’arrangement est très concertant. Et dans ce morceau aussi, il y a des interventions percussives, coup sur coup, et le corps de la guitare est mis en jeu. Nous entendons également des chants parlés indiens, tels que nous les connaissons au Karnataka College of Percussion. Il en résulte une mosaïque de sons colorés avec et au-delà du folklore et de la musique du monde. …
Cet album est un véritable plaisir pour les oreilles et un baume pour l’âme en raison de ses phrasés mélodiques sophistiqués et de ses dialogues » ! –Ferdinand Dupuis-Panther

JAZZPODIUM 6-7 / 2021

BRUNN/KARPAROV/RAINER – “NEW URBAN ‘WORLD MELODIC GROOVES
Laika Records / Rough Trade

« Qui, si ce n’est ces trois musiciens, serait prédestiné à initier de « nouveaux grooves urbains mélodiques mondiaux » ? Berlin, qui reste un melting-pot culturel de cultures musicales intra- et extra-européennes, offre un terrain idéal pour de nouveaux sons.

Le matériel de chansons du trio provient de la genèse des nombreux projets de coopération du guitariste et percussionniste Andreas Brunn avec le saxophoniste bulgare soprano et ténor Vladimir Karparov et le guitariste du Tyrol du Sud Simon Rainer. Brunn explore sans cesse de nouvelles possibilités musicales et sonores avec des partenaires différents et ne joue pas seulement des lignes mélodiques accrocheuses sur sa guitare acoustique à sept cordes, mais aussi des notes de basse avec la main gauche et des sons de percussion dure avec la main droite, grâce à sa technique de tapping très particulière.

Karparov produit des sifflements avec les lèvres, la langue et l’embout buccal, qui ressemblent à des balais de batterie. Rainer fait des sons proches de la basse et de l’hamrnondorgel avec des effets comme ses « Fractal Audio », sa pédale wah-wah et son octaver. Brunn joue quelques morceaux ainsi « contrastés ». « Magic Friday » et « Goodbye Pork Pia Hat » sur sa guitare via un deuxième amplificateur en mode stéréo : sur le canal gauche trois cordes de basse, sur le canal droit quatre cordes de mélodie.

Et même si le guitariste Ralf Siedhoff intitule son morceau « To Act Like a Bull in a China Shop », les trois musiciens y font irruption avec la force d’un éléphant dans le magasin de porcelaine des sons subtils. « Swindia » et « Tango el Cercado » sont issus du répertoire de Hans Hartmann. Au total, un voyage tout à fait mémorable dans la course aux belles sonorités ». -Rainer Bratfisch

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