BalkaNova
presse
Critique du CD : JAZZPODIUM
BalkaNova – Heart Beats – Bos Rec 228-12
Avec la participation de Stoyan Yankoulov
… Il y a maintenant les mots – la voix – celle de l’étonnante soprano Viktoria Lasaroff (également à l’accordéon et aux percussions), qui a maintenant pris sa part permanente dans BalkaNova. Horst Nonnenmacher est à la basse, et dans six des dix premiers morceaux, BalkaNova est renforcé de manière très efficace par le batteur/percussionniste Stoyan Yankoulov.
Les frontières entre les genres s’effacent également, et alors qu’au début (surtout en raison du jeu de guitare de Brunn entre les lignes jazzy et la maîtrise inépuisable de rythmes et de mètres souvent énigmatiques), on était encore enclin à entendre quelque chose comme du folk ou du jazz balkanique, il devient de plus en plus clair au fil des chansons qu’un nouveau genre sans nom se dégage des genres. « Hé, ami fidèle, chante une chanson, ne m’oublie pas », conclut l’une des chansons. Ne vous inquiétez pas : BalkaNova n’est pas quelque chose que l’on peut facilement oublier. … » – Alexander Schmitz
MOT LIBRE ILMENAU
avec « BalkaNova » l’automne est arrivé
« … Le trio germano-bulgare BalkaNova a ouvert le JazzHerbst Ilmenau avec son concert à la bibliothèque municipale. Le jazz a ses propres fans et ses propres colorations : BalkaNova a mélangé le jazz avec des influences bulgares et slaves du sud. Viktoria Lasaroff a profité de la faible distance entre le groupe et les auditeurs dans la bibliothèque pour entamer un dialogue avec le public. C’était très sympathique, car la musique populaire bulgare ne fait pas partie du courant principal des présentations musicales à la radio, à la télévision et en concert.
Cette prestation rafraîchissante, dont les surprises musicales résidaient notamment dans l’interaction entre la guitare à sept cordes d’Andreas Brunn et la contrebasse de Robin Draganic, n’en était que plus réjouissante. C’est un plaisir auditif de s’abandonner aux vagues de mélancolie et de se laisser aller à la rêverie. Le trio BalkaNova a même donné une leçon de Grèce : l’invitation à la danse sonnait comme un sirtaki. … « dol
Critique du CD : FOLKWORLD
BalkaNova « Heart Beats » – Bosrecords
« Dans les grandes villes d’Europe centrale, le son des Balkans est souvent associé aux cuivres et au folkpogo sauvage, ou au mieux au gipsyswing et à des éléments apparentés au klezmer. Le fait que la musique des Balkans puisse toujours être une bonne surprise est un secret bien répandu.
Balka Nova joue du jazz d’une manière très sensible. Les quatre musiciens qui entourent la chanteuse bulgare Viktoria Lasaroff puisent principalement dans les chansons populaires de Bulgarie. La chanteuse s’y connaît parfaitement.
Le guitariste Andreas Brunn et le bassiste Horst Nonnenmacher habillent cependant ces chansons populaires d’une robe jazzy, à laquelle le percussionniste bulgare Stoyan Yankoulov donne à son tour une touche de musique du monde. Le meilleur du jazz de chambre orienté vers le folklore ». – Karsten Rube
Critique du CD : FOLKER - Weltmusik Magazin
BALKANOVA Heart Beats (Bosrecords 228-12 / JARO Medien)
« Jazz folk des Balkans à la guitare. Chansons et danses folkloriques traditionnelles de l’histoire mouvementée des Balkans sont présentées de manière moderne par Viktoria Lasaroff, Andreas Brunn et Horst Nonnenmacher pour voix, guitare et contrebasse.
La star bulgare du tambour et des percussions Stoyan Yankoulov était là… jouée avec confiance, prête pour la fête et adaptée aux festivals. »
Critique de concert : Oberhessische Zeitung
La mélodie des Balkans et le jazz ont transporté les spectateurs dans un autre monde.
« … La base de la musique de BalkaNova est constituée de chansons populaires bulgares. Toutes les chansons ont été entièrement réarrangées par le groupe, avec des rythmes très variés et des harmonies jazz multicolores.
Viktoria Lasaroff est une chanteuse sensible qui met la mélodie au premier plan. Elle ne la surcharge jamais d’effets saillants, mais la laisse parler d’elle-même. Andreas Brunn est un guitariste virtuose. En tant qu’accompagnateur, Brunn est également très sensible et veille aux couleurs et aux rythmes les plus divers.
Les musiciens ont ainsi tiré de nombreuses facettes des mélodies originales irrésistibles et souvent très émotionnelles, et ont fait plonger leur public dans un autre monde. Andreas Brunn et Horst Nonnenmacher font preuve d’une interaction fabuleuse, même en duo, comme ils l’ont montré sur une composition de Brunn. … » – Martin G. Günkel
Général d'Augsbourg
Nouvelle Cuisine du Folk – Les cheveux noirs comme la houille, la voix profonde comme la mine correspondante : Viktoria Lasaroff a assuré avec son trio des variations musicales raffinées et exigeantes : Une « nouvelle cuisine » du folk qui a transformé les auditeurs en véritables fans lors de la première en Bavière du Sud au « Keller » de Dießen. Le tandem guitare (Andreas Brunn) et contrebasse (Horst Nonnemacher) a démarré sur une mélodie lente et détendue, mais incroyablement prononcée. Dans les chansons suivantes, on pouvait toujours croire qu’il y avait encore une batterie dans la pièce, tant les trois musiciens, qui s’entendaient comme dans un rêve, changeaient de rythme avec précision.
Avec l’intonation captivante d’une conteuse orientale, Viktoria Lasaroff a résumé ses textes en allemand. Le chant s’est ensuite déployé avec douceur et richesse vocale. Puis, dans une chanson tzigane répandue dans les Balkans, elle s’est soudain éloignée du micro et a répété la strophe avec la force et l’émotion d’une diva d’opéra endeuillée : une surprise réussie. Tout de suite, le retour à un chant doux et profond semblait même abolir toute notion de temps. Même la guitare d’Andreas Brunn a parfois quitté le domaine de la musique folk pour s’aventurer dans des variations jazzy, qui ont toutefois été intégrées avec une telle délicatesse que la cohésion de cette musique du monde a toujours été préservée. – Andreas Frey
Lippische Landeszeitung
L’amour de la vie en musique – BalkaNova fait basculer le « pont » à Hörste
A la fin, tout le monde a applaudi. Viktoria Lasaroff était visiblement satisfaite « d’un public aussi attentif ». Les auditeurs du « pont » venaient de profiter pleinement de la randonnée musicale de Balka Nova entre folk, jazz et musique classique. Avec le guitariste accompli Andreas Brunn, le chanteur de formation académique a parcouru les mondes musicaux et les a mélangés de manière très créative.
Afin de swinguer et de pouvoir apporter le groove complet avec sa guitare, Brunn avait tiré une autre corde sous la corde de mi grave afin de faire progresser ses voicings d’accords différenciés entre le jazz et le classique moderne avec une ligne de basse riche. De plus, Viktoria Lasaroff a déployé les registres de sa mezzo-soprano riche en timbres aussi variés que cohérents afin de chanter le thème qui touche le plus le cœur des gens de tous les peuples : l’amour. Et l’amour comme célébration de la joie et de la vitalité tangible. -Andreas Schwabe
journal régional de Thuringe
Impressions d’Europe du Sud-Est
Viktoria Lasaroff a dominé la scène avec sa voix forte et sombre ainsi que l’intensité de son chant. Elle n’était pas tellement la gitane amère, elle ressemblait plus à la puissante incarnation féminine de la Bulgarie à l’origine rurale. Les messieurs à vos côtés se sont affrontés avec confiance à travers la polyrythmie du répertoire et ont mis en scène des virtuoses, des temps forts jazzy… Conclusion : un programme complet par un ensemble, dont on peut s’attendre à un développement ultérieur. « – Fred Boehme